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100 ans de Vasaloppet !

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Ecrit le 9 mars 2022 par Boris Petroff

   
 

100 ans de Vasa !!!

 

La Vasaloppet fêtait cet hiver son centenaire ! Une sacrée belle jeune fille…

Forcément nous en étions.

Pourtant que d’incertitudes toute l’année : avec le Covid, aura-t-on le droit de quitter la France (et y revenir). Pourra-t-on se « réunir » en intérieur : que ce soit pour prendre son dossard, boire des canons ou ne pas se les geler dehors à Sälen en attendant le départ ? Les bus seront-ils autorisés ?

La course-anniversaire aura-t-elle bien lieu ou sera-t-elle réduite à sa plus simple expression comme l’an passé ??

Certes, les Suédois ont géré de façon bien plus paisible et permissive que nous cette crise du Covid (ni confinement, ni pass, ni masques au quotidien) et j’imaginais bien que le centenaire de la course historique, fondatrice de la nation suédoise, trouverait les interstices lui permettant d’exister,

mais tout de même beaucoup d’inquiétude toute cette année 21/22 !..Surtout pour les bargeots comme moi (et quelques autres) qui ont refusé de se faire vacciner !

Donc nous sommes inscrits. J’ai opté, bien sûr, pour LA Vasaloppet, celle du dimanche. Plus le 45 le mardi et, avec notamment Isabelle, le relais du vendredi.

Petit à petit nous nous découvrons une bonne vingtaine de copains copines présents pour ce centenaire. Dont Jean-Philippe Beaucher qui tentera de boucler sa 29ème participation !!

 

Et surtout Jean-Pierre Henriet, qualifié pour la Jubilée : la plus merveilleuse des idées pour fêter ces 100 ans de Vasa. La Jubilée, c’est ni plus ni moins que la reconstitution de la première édition, DANS LES MEMES CONDITIONS QU’EN 1922, c’est-à-dire des skis bâtons et fixations de 1920, des chaussures et vêtements de 1920, le parcours de 1920 (avec une piste « damée » par des chevaux tirant je ne sais quoi), les ravitos de 1920…

Cette Jubilée se tenait le 12 février, réunissant le même nombre de participants qu’en 1922 (139 pour être précis). Pour y prétendre il fallait justifier de ses compétences sportives et surtout d’un attachement profond avec la Vasa. Pas de soucis pour Jean-Pierre, qualifié « d’historical jurassic skieur ».

Pour ma part, je n’ai pas su cette sélection et ne le regrette pas : je n’aurai pas été en capacité de trouver le matériel adéquat ni de réussir cette Vasa historique.

Jean-Pierre a déniché dans un musée suisse de fantastiques et magnifiques skis de bouleau de 2,70 mètres de long. Puis, avec l’aide précieuse de Michel Bouteraon, put leur insérer des fixations en cuir d’époque, commander des chaussures à son cordonnier etc.

Et il était au départ … et bien sûr à l’arrivée, de ce Jubileum. Il termine 57ème (la place importe peu, au demeurant) en 12h18. Lui qui a fini une Vasa en moins de 5 heures (en 1987). C’est dire la difficulté de cet exercice. Et la perf de Ernst Alm qui gagne, en 1922, en 7h22 !

 

Pour cette semaine Vasa 2022, nous choisissons un nouvel hébergement : à Orsa, une bien sympathique auberge de jeunesse. Bon choix. Avec les Chambellan, Gilles Perrin et Sébastien Pontonnier.

Pour les Clerc et autres jurassiens (…dont Jean-Yves Comby et son neveu Frédéric) c’est Söleron. La bande à Hiriart reste fidèle à l’AJ de Rättvick, comme Beaucher et Turlan.

Cette année reverra Philippe Convert au Mora Parken, Roland Matarese à Orsa, Hervé Courtine …ailleurs.

Ils sont tous là !! Sauf les amis Bouteraon et Bouvet incités à reporter leur inscription sur l’année prochaine vue l’obligation et donc les coûts (à l’époque) d’un test PCR pour rentrer en France.

 

J’arrive avec une bonne préparation : environ 1000 km de ski… essentiellement en double-poussée et une incroyable performance (pour moi) à la Transjurassienne classique le 12 février : 3h24 pour 48 km dont la Traversée du Risoux, chrono qui me vaudra une 4ème ligne à la Vasa !

Sauf que la semaine suivante je me traine une saleté de rhino qui me met à plat (c’était un gros rhume que certains n’hésitèrent pas à qualifier de covid !). Traité par trois prises quotidiennes d’aspirine 500.

Et surtout je dors mal : souvent réveillé à 3 heures et parfois définitivement. Je n’en mène pas large…  S’il faut, je ferai l’impasse sur le 45…

La semaine précédant notre séjour suédois, nous sommes à Chapelle de garde de nos trois petites filles (Elena 9ans, Irina 6 ans et Olga 4 ans) qui s’éclatent à ski. Un véritable régal pour les papy-mamys gâteux que nous sommes. Retour sur Paris le samedi après-midi (juste le temps d’un test antigénique, non qu’il soit nécessaire pour prendre l’avion et entrer en Suède, mais pour rassurer mes coturnes à Orsa) et avion à Roissy le dimanche à 8h45… Merci Nico qui à 6h00 nous amène sur Charles-de-Gaulle.

 

La météo semble favorable : pas de précipitations, gel la nuit et températures positives le jour. Belles traces en perspective.

Sauf dimanche où une malencontreuse chute de neige est prévue au petit matin ! On verra bien.

A Mora c’est le centième anniversaire et pourtant la fête n’y est pas vraiment. J’imagine que plusieurs mois plus tôt les organisateurs de la Vasa ont dû négocier grave avec les pouvoirs publics la tenue de cette manifestation. Remise des dossards dans un (beau) local en centre-ville mais sans aucun autre stand. Peu d’ambiance. Chacun semble sur ses réserves : j’imaginais plus de folie !

 

Très belle sortie le lundi matin à Grönklit avec Isabelle et sous un soleil magique…

Pour ma part, comme promis, je guette Jean-Philippe et Patrice à Eldris le lundi après-midi qui bouclent l’Öppet. Ils sont à l’heure au rdv et gentiment à 5 mn l’un de l’autre. Je les accompagne sur quelques km.

Jean-Philippe termine sans soucis sa 29ème année de Vasa. Plus qu’une pour qu’il rejoigne le Graal : second français Vétéran…

Remise des dossards du 45. Amusant, le mien porte mon nom et a pour numéro celui de mon classement vétéran : 999. J’aurai le même dossard dimanche.

 

Mardi nous voici au départ du 45 km. Isa nous conduit à Oxberg bas. J’ai farté en tube universel et constate dès le premier pas que c’est une erreur : zéro retenue mais une glisse acceptable. Bon, je ferai avec…

Les traces sont restées gelées (nous sommes de la première vague) et les bras plus ma technique très personnelle de la double poussée me permettent de finir en moins de 3 heures. Loin derrière Cédric Schram, Olivier Traullé ou Pierre Provin mais devant Gilles Perrin (qui progresse en classic), Jean-Luc Magdinier, Claire Moisy, Patrick Jamroz, Arnaud Chambellan et Caroline Wattiaux.

C’est bon signe pour dimanche.

Mercredi, retour à Grönklit toujours aussi magnifique. La météo semble se confirmer favorable : gel de nuit et pas de précipitations. Ouf…

Dîner à Orsa avec Ingalill, sa fille Anna-Karina et son gendre : toujours aussi émouvant.

Un jeudi plus touristique entre Mora et Nusnas où sont réalisés et peints les fameux petits chevaux de Dalarna. Visite du musée Zorn et récupération des dossards pour dimanche.

 

Vendredi on part en staffet : en relai, quoi, avec finalement une équipe inédite : Sébastien en ouvreur de Sälen à Mangsbodarna, Gilles de Mangsbodarna à Evertsberg, Jean-Pierre jusqu’ Oxberg puis Isabelle pour Höckberg et moi en final. La belle équipe : un réel bonheur de partager ces 90 km avec tous ses amis… et avec mon Isabelle. Chacun donne de son mieux. Pour ma part, je pars volontairement sans aucun fart … et ne le regrette pas tant les côtes sont rares sur les 19 derniers kilomètres que je liquide en 1h08 (contre 1h14 lors de mon 45 le mardi). Au total les « Fondus de la Vasa » (notre nom d’équipe) terminent en 6h28 à la 416ème place (sur 1 700 partants). Pas mal… mais ridicule par rapport aux « Compères » (Olivier Traullé, Jean-Luc Magdinier, Gérard Hiriart, Caroline Wattiaux et Patrick Jamroz) qui passent la ligne d’arrivée en 5h56’ (211ème).

Ce même vendredi soir, Claire Moisy s’élance en solitaire sur la Nattvasan (la Vasa de nuit) qu’elle termine en 8h24, handicapée par un mauvais fartage et une nuit bien fraiche. En duo, sur la même Nattvasan, Pierre Provin et Jennifer Ouadaou mettent… 2 minutes de plus (8h26).

 

Samedi, repos pour nous (et préparation des skis) : nous allons sur la piste à quelques km de Mora admirer les skieurs qui font la course des 100 ans de la Vasa entre Eldris et Mora. Ils sont en tenues « historiques », c’est-à-dire caractéristiques d’un époque ou d’une autre entre 1920 et aujourd’hui.

Assurément les plus beaux sont Dominique Thierry et Daniel Clerc qui gagneront haut la main le classement de la plus belle tenue !

Sur ce même parcours nous admirerons des gamins et des gamines hauts comme trois pommes qui nous époustouflent par leur vitalité et leur style. Toujours accompagnés du père ou de la mère : l’avenir de la Vasa est bien là…

 

Dimanche 6 mars : c’est LE grand jour !

… et le terrible rituel : lever à 2h30 (pour ma part, réveillé dès minuit et demi), petit dej à 3h00 (…préparé par nos aubergistes qui sont vraiment à nos petits soins). Plat de pates pour Gilles et moi. Dans l’auto à 3h30, à la recherche -fructueuse- d’une place de parking à Mora vers 3h50, dans la queue des bus à 4h00… Tout se passe bien, sans accroc. Ouf. J’arrive même à somnoler voire dormir une heure dans le bus.

6h30 nous voici sur la ligne de départ. Dépôt des skis. Au fait nous avons farté d’une base de klyster vert recouverte de 4 couches de poussette bleue (-2/-8). Cela semble correct. Le thermomètre affiche -13 ° à Sälen mais il devrait assez rapidement revenir à zéro en début de matinée. Attente au chaud dans la tente de Stadium.

7h30 : dépôt des sacs vestiaires dans les camions, 7h45 nous sommes prêts à partir après l’échauffement rituel sur la ligne de départ sous la conduite de deux minettes bien dynamiques.…

8h00 : c’est parti !

Il y eut 15 000 inscrits pour cette Vasa et nous saurons le soir que 13 800 se sont effectivement ébranlés à 8h00, tous ensemble ! Déjà des chutes dans le petit plat du départ et que de bâtons cassés ! Et c’est le bouchon du départ : même en quatrième ligne c’est le bazar. D’autant plus qu’un grand nombre de concurrents ont fait le choix de skis non fartés : ils sont en canard et nous empêchent de glisser en ligne. Pas grave. Il y a même un handicapé en luge : quel courage. Juste le temps de prendre quelques photos et le peloton, comme toujours, s’étire dès le 3ème km. Je force, histoire de rester dans le bon groupe. La glisse est bonne (neige presque poudreuse mais très fraiche, quasiment gelée) et la retenue suffisante. Je n’ai pas déclenché le chrono (il n’aurait pas tenu les 90 km) mais espère passer Smägan à 9h00.

Smägan … à 8h58. Génial. Je sais que le parcours sur Mangsbodarna est rapide. Tout en poussée simultanée.  Je devrais y être en moins d’une heure. Disons à 9h55 si tout va bien. Le paysage est fantastique et, à deux reprises, je m’arrête quelques instants le temps d’immortaliser en photo cette ambiance magique. C’est ça la Vasa.

Mangsbodarna… à 9h50. Re-génial. Continue comme ça pépère et tu devrais faire dans les 7 heures. Inespéré. Je skie parmi des 4000 et des 5000. Normal. Pour Risberg, 11 km seulement mais je sais les 3 longs km de côte avant d’y arriver. Je rêve d’y être en 55 mn, à 10h45.

Risberg … à 10h37. C’est tout bon. Mais je vois bien que je me fais doubler par des skieurs partis sur des lignes moins favorables (des 6000 et même des 7000). En contrepartie je rattrape des 3000. Arrive l’étape la plus longue : 13.5 km avec quelques côtes, notamment pour monter à Evertsberg.  11h45, ce serait correct. Quelques passages à vide qui ne m’inquiètent pas trop. Je vois toujours des dossards 4000 et 5000.

Evertsberg… à 11h37. Je tiens le rythme. La moitié est largement passée (moins de km, moins de côtes, pas de bouchon) : si je n’explose pas je dois pouvoir atteindre mon objectif de 7h00. De toutes les façons, je sais que c’est gagné quand on a passé Evertsberg.

Comme à chaque ravito, je prends un verre de boisson énergétique, un verre de bouillon et un petit pain. Systématiquement les speakers notent mon passage (Boris Petroff, veteran… Frankrike…) : je ne suis pas vétéran pour rien ! Après Evertsberg la descente. Cela devrait passer sans soucis tant les traces sont restées bonnes. Juste éviter les mauvais descendeurs qui arrivent à chuter malgré tout. L’étape la plus longue mais pas la plus difficile. Juste un faux plat après la descente et une côte en deux temps pour Oxberg. A 14 ou 15 de moyenne j’y serai pour 12h40.

Oxberg … à 12h36. Tu tiens le bon bout pépère. Profite de tes bras et de ton habitude de la poussée simultanée. Tu peux tenir le 13 ou 14 km/h de moyenne sans te surpasser. Les 9 km pour Höckberg sont toujours les plus lents : ce n’est jamais plat. On verra bien quand j’y arriverai.

Höckberg vers 13h20. Si je tiens le chrono de la 45 je serai à Mora vers 14h45 ! Moins de 7 heures. C’est top toptop.

Eldris à 15h00 : sûr de passer sous les 7 heures. Je ne mettrai pas une heure pour les 9 derniers kil ! Quel bonheur. La glisse reste bonne et je me moque absolument de l’absence de retenue. Je ne refarte surtout pas. Pourquoi faire ?

L’église de Mora en vue (bon les traces sont bien incertaines depuis Höckberg, surtout dans les plats et les côtes, mais en poussée cela passe), les deux côtelettes avant Zorn, le gauche et c’est l’arrivée toute proche.

« Vas-y Boris, super ! » c’est Isabelle qui me guette et me félicite.

Et c’est la ligne d’arrivée. Je peux me relever et souffler. Il est 14h35’.

 6H35 : incroyable. L’un de mes meilleurs chronos (2021 mise à part). A 73 ans… Je pleure : fatigue, émotion, bonheur ? Tout à la fois et me jette dans les bras de mon Isabelle. Et dire que j’hésitais à repartir une 34ème année sur cette folie nordique !

 

Un peu plus tard je regarderai les résultats de mes amis français sur cette Vasa du centenaire :

Christophe Cordier (un gamin de Chapelle) 5h02, Cédric Schram (un alsacien ou vosgien) 5h03, Olivier Traullé 5h19, Jean-Pierre Henriet (que son brillant passage à la Jubilée permit un départ en troisième ligne) 6h12, Frédéric Barenski (un  neveu de Jean-Yves Comby) 6h32 : on s’est vu à deux reprises pendant le parcours, Daniel Clerc 6h53, Jean-Yves Comby 7h 43, Gilles Perrin 7h50, Jean-Luc Magdinier  9h02, Sébastien Pontonnier 9h08, Arnaud Chambellan (avec ses skis, fixations chaussures tout neufs) 9h27, Patrick Jamroz 10h43…

 

Il ne nous reste plus qu’à regagner notre auberge d’Orsa ou Anna, Alicia et Arnaud Chambellan nous offrent le champagne. Bien mérité. Mais adorable.

Au demeurant les quelques jours passés en compagnie des Chambellan et de Sébastien Pontonnier que nous ne connaissions guère fut un vrai bonheur. N’est-ce pas Gilles ! Sûr que je les retrouverai, à Lille ou dans le Morbihan, à Skiroues ou en livreur de champagne avec la plus grande joie.

 

Bon, j’espère bien que je serai encore là en 2023 : pour fêter le passage de Jean-Philippe dans le monde des vétérans… et, pour ma part, signer ma 35ème année de Vasaloppet : on s’habitue, quoi….

 

Avant de refermer cette page du 100ème anniversaire, je veux recopier le magnifique texte écrit à l’automne 2021 par les organisateurs de la Vasa sur leur site :

« On dit que l'histoire est écrite par les gagnants.

 Dans le cas de la Vasaloppet, il serait plus exact de dire qu'elle a été écrite par ceux qui l’ont faite.

 Elle a été écrite par les 1 700 000 participants qui, en sueur et épuisés, ont parcouru différentes distances entre Sälen et Mora, et ont inspiré des millions de téléspectateurs pour qu’ils fassent eux-mêmes des exercices occasionnels et sortent sur la piste la plus proche dans l'espoir de skier, de faire du vélo ou de courir un jour « sur les traces des ancêtres pour assurer un avenir heureux ».

En 2022, le mouvement Vasaloppet fête ses cent ans.

 « Pourquoi ne pas faire du parcours de Mora à Sälen celui d’une course de ski nationale, précisément maintenant où nous sommes sur le point de célébrer le 400e anniversaire de la libération de la Suède par Gustaf Eriksson ? »

 C'est le rédacteur en chef Anders Pers qui en parle dans le journal Vestmanlands Läns Tidning du 10 février 1922.

L'invitation est envoyée le 7 mars, le premier skieur est inscrit le 10 mars et la première Vasaloppet a lieu le 19 mars (1922).

Anders Pers a ensuite prononcé un discours devant les participants et spectateurs rassemblés près de la statue de Gustav Vasa à Mora le soir après la course :

 « Les gens se rassemblent dans des communautés et vivent dans un confort accru, ce qui met en danger la résilience et la force même de la communauté… Ce danger pourrait entraîner un affaiblissement et une dégénérescence irrémédiables : d’où cet appel pour que le sport agisse comme un effort conscient pour maintenir et augmenter la force de la communauté et sa résilience ».

L’esprit de cette épreuve est ainsi bien fixé :  la Vasaloppet est une course pour garantir une Suède plus saine.

 Au cours des cent années qui suivent, la Vasaloppet évolue : d'une simple course de compétition le premier dimanche de mars, elle devient un moteur permanent d'activités publique et sportives. Pour une meilleure santé de tous.

C’est un mouvement vivant, et cette année avec quelque chose de plus à célébrer !

 Nous avons commencé cette célébration par une tournée pour mettre en mouvement la Suède à l'automne 2021, la poursuivrons en recréant les conditions de la première Vasaloppet historique avec la Vasa-du-Jubilé le 12 février, et entrons directement dans une fête de dix jours durant la semaine d'hiver 2022 de la Vasaloppet.

Après cela, …nous visons au cours des 100 prochaines années… de rester « sur les traces des anciens pour les victoires futures ».

 

   
 

                 

   
 

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